Face à cette interrogation nous relevons le défi...
Récemment signée chez Albin Michel, la jeune auteure de Corpus Christine présenterait d'étranges similitudes avec Amélie Nothomb, signée aussi chez Albin Michel.
Peut-on alors parler d'un atelier Max Monnehay comme il y aurait un atelier Jonathan Littell ? Y aurait-il eu des transferts de la soi-disant team Amélie Nothomb vers un atelier Max Monnehay, ce qui expliquerait la similitude des sujets et des thèmes ? Amélie Nothomb aura certainement dû donner son accord.
Les éditions Albin Michel ont-elles voulu gardé le segment de marché des 18-25 ans qu'occupait auparavant Amélie Nothomb, avant de passer à un public plus mûr en évoquant des sujets plus graves comme notamment ses tourments avec le monde du travail japonais, et qu'aurait récupéré aujourd'hui Max Monnehay.
Les nègres de cet atelier seraient-ils des hermaphrodites fâchés avec la littérature masculine et méprisant profondément la littérature féminine ?
Toutes ces questions et beaucoup d'autres se soulèvent lorsque l'on évoque les choix stratégiques des éditions Albin Michel.
3 commentaires:
Dites donc ça devient très gossip ici!
je me suis toujours qu'il y avait anguille sous roche avec ce genre de littérature suspicieuse...
Keep up the good work.
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