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samedi 26 mai 2007
François
jeudi 24 mai 2007
Unstimulating, low-paid job with few prospects
mercredi 23 mai 2007
Qu'est-ce que Max Monnehay ?
Face à cette interrogation nous relevons le défi...
Récemment signée chez Albin Michel, la jeune auteure de Corpus Christine présenterait d'étranges similitudes avec Amélie Nothomb, signée aussi chez Albin Michel.
Peut-on alors parler d'un atelier Max Monnehay comme il y aurait un atelier Jonathan Littell ? Y aurait-il eu des transferts de la soi-disant team Amélie Nothomb vers un atelier Max Monnehay, ce qui expliquerait la similitude des sujets et des thèmes ? Amélie Nothomb aura certainement dû donner son accord.
Les éditions Albin Michel ont-elles voulu gardé le segment de marché des 18-25 ans qu'occupait auparavant Amélie Nothomb, avant de passer à un public plus mûr en évoquant des sujets plus graves comme notamment ses tourments avec le monde du travail japonais, et qu'aurait récupéré aujourd'hui Max Monnehay.
Les nègres de cet atelier seraient-ils des hermaphrodites fâchés avec la littérature masculine et méprisant profondément la littérature féminine ?
Toutes ces questions et beaucoup d'autres se soulèvent lorsque l'on évoque les choix stratégiques des éditions Albin Michel.
jeudi 17 mai 2007
vendredi 11 mai 2007
Snif ! La mongolienne n’est pas passée… OK ! Mais il est l’heure à présent de tirer quelques conclusions. Elles ne seront certainement pas exhaustives, mais elles constitueront déjà l’ébauche d’une réflexion à développer.
Il est évident qu’une pensée taraude la France (et l’Occident) depuis quelque temps. Cette pensée serait une sorte de contrepoids face à la « décadence » continuelle de l’Occident. C’est la démocratisation de cet esprit qui a, entre autres, propulsé M. Sarközy au pouvoir. Il s’agit de la droitisation de la pensée qui s’est manifestée ces dix dernières années par des courants au départ marginaux, mais qui ont inlassablement été mis au devant de la scène par les médias, avec les nouveaux réactionnaires, les anars de droite, etc.
Le problème n’est bien évidemment pas la pensée en elle-même. Mais sa démocratisation. En étant vulgarisée, elle est inévitablement appauvrie. Ce qui pose problème car seules ses expressions les plus viscérales, nauséabondes diront certains, sont utilisées par les tribuns. On dira ainsi que M. Houellebecq est islamophobe, mais on omettra de dire qu’il valorise la social-démocratie, par exemple. Ou l’on passe sous silence le côté anti-flic ou anti-clérical de certains de ses soi-disant idéologues.
Et donc, pendant dix ans (environ), ces différents courants ont résisté à la doxa dite soixante-huitarde et se sont imposés au fur et à mesure. Mais aujourd’hui, ils ne sont plus marginaux. M. Finkielkraut ne peut plus prétendre être mis à l’index ou persécuté, compte tenu de la teneur de certains de ces propos, et vue la tribune qui lui est faite dans les médias.
Aujourd’hui, cette nébuleuse d’intellectuels a très largement sa place dans le débat. Ceux qui la constituent font la nouvelle intelligentsia. Ces courants sont dorénavant « mainstream », ils font partie intégrante de la pensée dite unique ou majoritaire.
Bien le bonjour de la France qui se lève tôt.
François
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samedi 5 mai 2007
Post-report du 5 mai
Post-report du 5 mai
Grosse sauterie à la cochonnaille et fromages de montagne sous le pont Alexandre III, hier. Stop.
Pas de gats'. Stop.
Vu. Schivardi qui discutait gros sous avec les Lantieri. Stop. C'est le maçon qui a régalé les bouteilles, ce qui a estomaqué les frérots. Stop. Pas pu prendre photos, gardes du corps m'en ont empêché. Stop.
Vous n'avez pas voté pour un cador, peuple de merde, vous le regretterez. Stop.
Bouona zèr' a toutti.